Encore un regard, celui de Dieu cette fois, se déplace dans la chambre, au dessus des policiers jusque dans la rue où la foule s’amasse. Lieu clos, unité même de sa solitude, sa chambre ressemble davantage à celle du bon soldat ( lit de camp, couverture militaire...), qu’à l’appartement d’un trentenaire new-yorkais. This study shows that stress of taxi drivers is mainly affected by road congestion, continual working time, and the frequency of passengers. Une tension que l’on retrouve à la sortie du cinéma, Travis est rejeté du taxi qui démarre, preuve irréfutable que Betsy lui refuse l’intimité qu’il rêvait. Betsy représente le rêve, l’illusion, la fascination de Travis, son désir d’intégration. Pour pallier ses insomnies répétées, il devient chauffeur de taxi de nuit. Dossiers universitaires 2003-2004, Rent a Car in Lahore Travis fixe son verre dans lequel il fait se dissoudre un médicament effervescent. Pour la première fois, et inconsciemment, il "fait semblant", extériorisant par le signe (et non plus l'action) son terrible tourment. Travis Bickle, de retour du Viêt-nam, connaît beaucoup de difficultés à réintégrer la société qu'il avait quittée. Figée, la caméra participe à augmenter la tension qui le submerge et souligne son manque d’assurance. Générique. Le personnage de Travis va entretenir un lien étroit avec la ville. 2. Critiques (5), citations (4), extraits de Taxi driver de Richard S. Elman. La nuit new-yorkaise crée un monde artificiel aux couleurs de feu : néons, enseignes, feux de circulation ; les inserts sont nombreux. Publié dans Mais pour Travis, cet argument n'a déjà plus de portée, on le sait maintenant. Que dire ? Par son suicide, d’abord avorté puis mimé, il se tourne vers Dieu et demande pardon. Alors qu’il se remet de ses blessures, la presse et les heureux parents d’Iris définissent son acte d’héroïque. Il obtient la rédemption de ses péchés meurtriers par le panoramique en plongée verticale qui flotte au dessus de la scène de crime. Ce personnage, au même titre que les autres, vient étoffer par l’interaction la personnalité déjà complexe de Travis. Travis suit un système particulier avec ses deux relations féminines : la rencontre avec Betsy est finalement plus facile que celle avec Iris, la pause-café est aussi enfantin avec l’une et l’autre, le sexe est mis au premier plan par la séquence au cinéma avec Betsy et dans la chambre de passe avec Iris. Cependant, il n'était pas tout à fait en dehors de ce système dont il connaissait les rudiments : il invite Betsy à déjeuner ou encore il cache sa xénophobie auprès de son collègue de couleur. TRAVIS ET L’OBSESSION AFFECTIVE : De retour de guerre, Travis est un homme perdu, sans attache, sans contact social, sans famille, sans communication. Affiche de Taxi Driver (Martin Scorsese, 1976). Synopsis : Vétéran de la Guerre du Vietnam, Travis Bickle est chauffeur de taxi dans la ville de New York. Herbert F. Mulligan, Direction artistique : At a high level of stress, poor behavior is significantly related to the driving experience of the taxi driver. Travis vit dans un monde où seul la notoriété peut redonner de la fierté à un soldat de guerre insatisfait. Dorénavant, comme Iris, comme tout le monde, il fera semblant d'être heureux. La ville vit aussi la nuit, « l’enfer » selon lui, où le vice est partout. Charles Rosen, Produit par : Bill/Phillips, Citations de Personnage inconnu dans Taxi driver (film/série) 1 réplique culte. Ses pensées, exprimées en voix « off », errent parmis le travelling de bouquets de fleurs qu’elle lui renvoie systématiquement. Autre marque d’absence de communication : le journal. Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous : de David Thompson et Ian Christie, Ed. Refusant l'idée même de l'acte, il s'en détourne et lui demande plutôt de déjeuner avec lui plus tard. Cependant on sait maintenant que cet acte ne représente pas quelque chose comme une ultime destruction mais une prise de conscience : tout comme Iris, Travis va apprendre à étouffer son mal, séparant la volonté de l'accomplissement. Citation Voleur & Vrai - C'est vrai, c'est signé, la mafia fait ça constamment. Il s'agit du premier film de la série Taxi, écrit et produit par Le taxi va lui permettre de se déplacer loin de sa triste et stérilisante réalité. Plongé dans l’intimité de Travis Bickle, le spectateur est soumis à son quotidien, à ses rencontres et à son point de vue sur le New York qui l’entoure. Columbia Pictures Corporation, En effet, Travis essaie constamment d’éviter de se suicider. Il lève alors sa main et feint de tirer avec cette arme improvisée sur sa tempe. He tells the interviewer that he is twenty-six years old, was honorably discharged from the Marines in 1973 (indicating to viewers that he served in the Vietnam War), and that he can't sleep at night. Cahiers du Cinéma, 1989. Travis frequently changes his view of whether he is incontrol of his destiny or whether his destiny is predetermined.In 03/04/2017 07:05. Travis est l’image de l’Amérique. III. L’innocence d’Iris sur la gravité de sa situation est la même que celle de Travis à croire qu’il peut changer le monde. Merci pour cette analyse . Ici, la femme est une gamine qui agit sans réfléchir. This also means it has been incorporated into the Dramatica Story Expert application itself as an easily referenced contextual example. Ancien combattant du Vietnam, une guerre en laquelle il a cru, il commence une nouvelle vie sociale à New York. Le premier scénario prévoyait une fin heureuse entre Travis et Betsy. Le déclenchement physique a lieu grâce au discours meurtrier de l’homme trompé. Le monde n’a pas changé mais le sien connaît un nouveau départ. Pour revenir sur le premier plan du film, le ralenti du regard spectateur et vide de Travis donne cette impression d’être réveillé mais pas tout à fait, un rêve éveillé, un état droggy ; état du personnage insomniaque. II. Son journal participe à tuer l’ennui et le silence car, de toute façon aucun bruit ne lui est destiné. Essays for Taxi Driver. Une seule solution se présente à ses yeux : il faudra l'expurger de ses démons et finalement la supprimer. La tuerie commence par Sport : les dialogues et les gestes de piétinement des deux hommes créent  un moment de pression / compression / explosion. Le passage à l’acte est engendré par deux séquences consécutives qui se complètent. Écrit par Paul Schrader, il met en vedette Robert De Niro, Jodie Foster, Harvey Keitel et Cybill Shepherd. Ses gestes sont hésitants, il cherche ses mots, il bouge d’une façon nerveuse. Travis vit de nuit, il l’a choisi. Ceux-ci accomplis, et Iris "délivrée" de son étau, Travis peut enfin se détacher totalement de son corps et se donner la mort. Il était exclusivement ce qu'il montrait de lui aux autres, une position inconfortable dans un monde où il faut davantage paraître et surtout ne rien laisser transparaître. 19 ----II. These papers were written primarily by students and provide critical analysis of the movie Taxi Driver by director Martin Scorsese. Plus besoin de mots (leur conversation est quelconque), les regards suffisent pour se dire adieu, pour tirer un trait définitivement. Cybill Shepherd, Elle refoule son malheur au plus profond d'elle-même et prétend bien s'en porter. États-Unis, Genres : Lorsque le collègue de Betsy vient à la rencontre du taxi, il fuit tel un animal. Paul Schrader, Musique : Victor Argo, Robert De Niro, Il ne reste plus qu'un corps inerte, affalé dans un fauteuil. Il préfère tuer avant, il extériorise son mal-être. Peter Boyle, Frank Adu, Dans la séquence où il aborde Betsy pour la première fois, la caméra se place derrière Betsy. Abonnez-vous pour être averti des nouveaux articles publiés. Dans Scorsese par Scorsese de David Thompson et Ian Christie, le réalisateur parle de l’impulsivité et de l’immaturité de l’Amérique où toute action se tourne vers l’extérieur. Dans la deuxième partie du film, elle devient alors sa frustration. Les frustrations passées se transforment  en agressions à la fin du film. La figure emblématique du jaune, et donc de l’optimisme reste bien sûr le taxi, point de rencontre des univers extérieurs et intérieurs. Il bouillonne, sait très bien que "de mauvaises choses lui passent par la tête" mais comment les contenir ? Dès lors, changer d'apparence, de nom, ne le gène en rien et même le rassure : dans la jungle new-yorkaise, il sera le chasseur, ou plutôt un esprit furtif, invisible, prêt à bondir sur ses proies. Ce qui choque réellement dans le célèbre final du film, ce n'est pas tant sa violence graphique insoutenable (qui fit beaucoup parler d'elle) ou l’enchaînement presque mécanique des meurtres, mais bien le regard vide que Travis affiche dès son acte commis. However, the loss rate of traditional taxi drivers has increased year by year largely come from the drivers working long time but earning little. Tom Rolf, Melvin Shapiro, Photographie : Il n’en fait, d’ailleurs plus non plus entre ce qu’il voit sur les trottoirs nocturnes et sur les écrans de ses salles à caractères sexuels, ce qui lui vaudra la fuite imprévue de Betsy lors de leur unique rendez-vous. Comment peut-il s'échapper d'une existence qui l'encercle de plus en plus, tel un étau ? Chaque soir, il côtoie la grandeur et la décadence new-yorkaises et doit faire face aux situations les plus diverses. Très tôt dans leur relation, Travis va se montrer sous un tout autre jour. Murray Moston, Son devoir est de la sauver de l’enfer, de la convaincre, d’être actif, enfin. Taxi est une comédie policière française réalisée par Gérard Pirès, sortie en 1998. Suite aux attentats du Bataclan, un ancien membre de la DGSI parlait d’un phénomène que ses services avaient remarqué dans la foulée des émeutes de 2005 : de nombreux jeunes cherchaient à ventiler leur colère à travers un engagement politique. The only noticeable instance in the film is a scene where Jackson Browne’s “Late for … Sa vie va reprendre alors. Betsy ne changera pas le monde, Travis va d’illusion en déception, de déception en frustration. Michael Phillips, Julia Phillips, Studios de production : Solitaire, il vit dans un appartement miteux et, parce qu’il est insomniaque, travaille de nuit comme chauffeur de taxi dans les … Publié le Dans la première séquence au dépôt, la caméra suit d’un travelling latéral le personnage, son parcours entre fumées et véhicules souligne que son cheminement vers son but ne sera pas évident. Petit à petit, il va rejeter ce monde frénétique qui s'offre à lui. Cette insistance tourne à l’obsession. Gino Ardito, Mais à chaque fois, il finissait par se montrer tel qu'il était au grand jour : il emmène la jeune femme dans un cinéma porno lors de leur premier rendez-vous (comme simple désir sexuel), il fixe avec insistance les Afro-Américains qu'il croise. L’autre environnement clos qui compose la ville est l’appartement de Travis. Egalement dans le premier plan du film servant au générique, un gros plan des yeux de Travis scrutant la ville et ses lumières rouges pose d’emblée ce rapport avec l’environnement. Travis n’agit pas sans raison, chacun de ses actes a toujours un but précis ; celui d’être reconnu, accepter, aimer, respecter. La guerre l’a rendu paranoïaque, insatisfait, et réactif. Grande recherche Travis - « Taxi Driver » caractère chauve casquette / perruque costume mohawk pour les adolescents et les adultes. Dans sa quête de pureté, il rencontre un ange, Betsy, secrétaire du candidat à la présidentielle Palantine. Travis n'a pas appris à structurer ses pensées, il ne sait que les transcrire en un flot de paroles indigestes qu'il garde personnelles - chez Scorsese, les mots, rapides et tranchants, cherchent surtout à cacher la vacuité rongeant les personnages et leur permettent de refouler leurs envies les plus primaires. In “Taxi Driver,” this psychological profile is explored, and it gets pretty uncomfortable. Diahnne Abbott, Travis est un homme déçu par la perte de la guerre. Le deuxième élément déterminant se situe dans la séquence suivante à la Bellmore Cafétéria. Je sais, ça a l'air d'une blague comme ça mais c'est vrai. Filmé en plongée, notamment lors de ses incessantes insomnies, la caméra surplombe l’espace et accentue le terrassement psychique du personnage. La fin du film est beaucoup moins précise à ce sujet, Betsy pouvant n’être pour Travis qu’une cliente de plus…. Le taxi est filmé d’un point de vue unique par des inserts de rétroviseur, travelling latéral sur l’arrière gauche puis sur le capot. La séquence dans la chambre avec Iris se conclut par un panoramique allant d’elle à lui, puis de Travis vers la porte, pour enfin revenir sur Iris ; système de suivi annonçant son retour imminent pour la sauver ; sa mission est désormais lancée. Retour sur Taxi driver de Martin Scorsese, Palme d'Or du Festival de Cannes en 1976. Betsy : « l’ange sorti de l’enfer ». Mais l’échec est inévitable, Travis étant plus « souillé » qu’elle, elle devient inapprochable socialement. Déchiffrant tel un sorcier les bribes des formules de Travis, Wizard ("sorcier" en anglais) lui donne le seul conseil qui lui semble juste : dans cette jungle ("où on est de toute façon baisé"), l'unique moyen de se protéger de soi-même est de devenir ce qu'on laisse transparaître ; être ce que les autres voient de nous. Que partager ? Taxi Driver est un film réalisé par Martin Scorsese avec Robert De Niro, Jodie Foster. Gremese, 2001. Bienvenue à Funtasy Wigs - Costume d’Halloween théâtrale de qualité supérieure / perruques cosplay à prix réduits. Italo/Judeo Productions, Recommandé parLodge Kerrigan, Christophe Gans, Jean-Pierre Jeunet, Park Chan-wook, Bertrand Blier, Atom Egoyan, Jean-Pierre et Luc Dardenne, John Woo, Christian Petzold, Amat Escalante, Damien Chazelle, Corneliu Porumboiu, Caroline Link, Lukas Dhont. Plus rien ne le rattache à son corps désormais. Nouvel échec, Travis sauvera enfin Easy, alias Iris, une jeune prostituée de douze ans, des mains d’un proxénète et junky, Sport. Taxi Driver, c’est la tentation de la radicalisation. Un dégoût qui réveille en lui une haine et une volonté de purification, autant de son âme que de la ville. Avec Iris, il doit convaincre, c’est elle qui échoue sur lui mais elle lui est immédiatement retirée. Mission délicate de par son handicap social, il va d’échec en échec. De par son insomnie et sa solitude, il devient chauffeur de taxi nocturne. L’EXPLICATION. En témoignent les panoramiques ; lorsque Travis entre au dépôt pour la première fois, la caméra le suit traversant la fumée des moteurs, marchant à travers les taxis jaunes. Il veut se sentir utile, il est volontaire et serviable. D’abord de son insomnie, ensuite de sa solitude relationnelle, et finalement des dangers de la ville. 6 septembre 2005 A partir de là, Travis n'épargnera plus rien à personne - il veut tout détruire : la télévision, les politiques et même sa propre image dans le miroir dans la scène la plus célèbre du film, où finalement il ne se reconnaît plus physiquement. The following analysis reveals a comprehensive look at the Storyform for Taxi Driver.Unlike most of the analysis found here—which simply lists the unique individual story appreciations—this in-depth study details the actual encoding for each structural item. Et il aura beau se cacher derrière son travail comme le lui propose toujours Wizard - s'enfermer dans son taxi comme dans une carapace - le monde viendra toujours à lui : tous les soirs, il accompagnera les joies et les misères du monde le temps d'un trajet. Garth Avery, Dans son récit de sa vision angélique de Betsy, un travelling latéral suit au ralenti le mouvement de droite à gauche de la femme, puis gros plan sur l’œil de l’observateur et enfin, rencontre en surimpression avec un travelling rapide de gauche à droite cette fois, qui laisse lire les mots : « not to touch her », ce qui signale au spectateur que leur rencontre est devenu inévitable pour Travis. Face à elle, Travis est impulsif : lorsqu’elle sort enfin du bureau pour la pause café qu’il a obtenu, la caméra se précipite sur eux par un rapide zoom avant. Travis est un homme seul. Ce geste, que l'on pourrait prendre comme le terme de son existence, est en fait le premier pas de sa réinsertion sociale (et également de sa naissance comme individu), en tant qu'il assimile alors le fondement de la vie morale : la distinction radicale entre pensée et acte, et surtout la possibilité qu'a la conscience de s'opposer à l'agir et ce, autant pour contenir ses pulsions que pour les étouffer. Aux côtés de Brian De Palma, Steven Spielberg, Francis Ford Coppola ou Michael Cimino, Martin Scorsese incarne un nouveau mouvement artistique riche en promesses et en désillusions. Evacuer "la racaille" pour mettre de l'ordre. Audiences had modest expectations for Taxi Driver when it was first released in the winter of 1976. Néanmoins, Travis reste une bombe prête à exploser pour mieux recommencer à vivre. Le journal, traduit cinématographiquement soit par la voix « off », soit par inserts de mots écrits, s’inscrit dans l’évolution psychologique du personnage. On peut le constater dans ce qui reste peut-être comme la meilleure scène du film : Travis tente de discuter avec Wizard, son collègue, le temps d'une pause entre deux clients. Cela n'est pas sans rappeler la relation avec Betsy en ce sens qu'elle est inversée. Rechercher. Il sauve Iris mais il n’est pas conscient que le monde qu’il veut changer est en fait le sien, c’est à dire sa relation à l’égard d’autrui et de lui-même. Michael Chapman, Scénario : Cette décision a pour but de nourrir sa solitude, sa haine à l’égard des gens qui viennent violé son intérieur, et devenir progressivement la cible de son intolérance. Mais pour Travis, cette répression du désir est impossible. J’ai bien aimé le clin d’œil de taxi driver , l’homme à la veste militaire au masque de clown qui sort Joker de la voiture de … Seulement les mots ne viennent pas. Pour le personnage, le taxi est une issue de secours. De son périple horrifique, il ne gardera que des séquelles physiques que le temps effacera. Dans son suicide exterminateur , il emporte également le gérant de l’hôtel de passe et le client anonyme d’Iris. Cet univers brutal vient à lui inlassablement sans qu'il ne puisse jamais le déchiffrer. Année : 1976. Son malaise intérieur ne fait qu’empirer lorsqu’il rencontre un mari trompé aux intentions meurtrières. Dans son taxi, il observe, il rêve, il fantasme, il témoigne de toute la corruption du monde. Le taxi est associée étroitement à la ville dans un montage rythmé lors de la découverte du véhicule par le spectateur. Critique et Analyse Robert de Niro dans Taxi Driver (1976) Quelques secondes, à peine, suffisent pour dresser un portrait du personnage principal, et donner le ton du film. Tu prends un voleur qui loupe son coup par exemple, et bah, ils lui coupent les doigts. Il n'entre définitivement pas dans le cadre (au propre comme au figuré, Scorsese le laissant à plusieurs reprises hors-champ) de cette ville, trop grande pour lui. Ces actes ont-ils un sens ? 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