Et - de toute façon - les « limites » des continents (constructions idéologiques arbitraires et strictement conventionnelles...), ça vaut ce que ça vaut : finalement pas grand chose. L’UE c’est nous comme pourrait le dire chaque citoyen de l’UE. En réponse à : L’Etat d’Israël dans l’Union européenne ? Pour moi, l’entrée de mon pays, Israël, dans l’Europe serait une erreur fondamentale au niveau politique et stratégique... Ce qu’Israël souhaite c’est d’intégrer au mieux sa région géographique... C’est à dire le proche orient... Donc, en ce sens, une MEA Middle East Union serait bien plus opportune, cohérente et pertinente... Même si à court terme ca parait difficilement envisageable, c’est cet objectif qu’il nous faut cibler... Mais en réalité, Israël ne demande pas mieux... L’intégration d’Israël dans l’Europe n’est pas un souhait Israëlien, dumoins loin d’y être majoritaire... C’est uniquement à un niveau politique et diplomatique de l’Europe que cette perspective semble attrayante... C’est d’ailleurs les responsables de l’UE qui ont émis en premier cette hypothèse d’un Israël européen mais c’est très opportuniste comme requète au peuple Hébreu... 17. Ce champ accepte les raccourcis SPIP {{gras}} {italique} -*liste [texte->url] et le code HTML . Et juste une piste - donc - pour une future intégration politique au proche orient : en 1951, les Européens commençaient à construire leur union politique en mettant en commun les instruments de la guerre (le charbon et l’acier). Le 23 mai 2008 à 02:58, par Byzance Enfin, si vous aviez lu attentivement ce qui précède, vous auriez découvert que OUI, il semble que les mêmes perspectives aient été proposées à l’autorité pesltinienne alors en gestation ainsi qu’au Liban (c’est écrit noir sur blanc dans l’article qui précède). À la place du nom original de l’accord, étant parfois trop long, le titre indiqué, bien que légèrement différent, explicite son contenu. NB : Une perspective intéressante, admettons : si tant est qu’elle soit effectivement partagée... Or l’essentiel de cet article tend à précisément vouloir dire le contraire ! La Déclaration de Venise de la Communauté européenne en 1980, a tenté de forcer Israël à survivre dans un territoire indéfendable et prédisait déjà sa disparition et son remplacement par un peuple dont l'existence ne s'est pas manifesté avant 1969 - et tout cela avec l'aide de l'Union soviétique mais aussi et surtout de la France. Or, l’article précédant dit que c’est justement le contraire qui s’est produit (de la défiance et de la méfiance), ne serait-ce qu’à cause des conditions mêmes du départ de ces gens d’Europe vers la Palestine (et à cause de l’antisémitisme dont certains de ces migrants récents disent avoir été victimes). Le 22 mai 2008 à 22:30, par Ronan Et c’est là une condition non négotiable... ainsi que la seule véritable « frontière » de l’Union (la seule qui puisse être véritablement contrôlable, d’ailleurs). Je ne vois aucun argument qui accepterait la Turquie et nous donnerait une frontière directe avec l’Irak, qui ne s’appliquerait également à … Une telle décision ne m’indigne donc aucunement. Sur l’importance "cardinale" du seul critère géographique dans la décision communautaire de 1986 concernant le Maroc, une fois encore c’est vous qui l’affirmez. En réponse à : L’Etat d’Israël dans l’Union européenne ? Pour vous livrer un point de vue un peu plus personnel sur la question, je suis partie en voyage en Israël en connaissant les risques et en ayant suivi les consignes que je pouvais suivre. Celle d’un Etat-nation au mode de vie occidental mais militairement claquemuré, tel une caserne spartiate, dans un environnement proche le considérant de plus en plus comme un corps étranger. Il me semble que le « non-sens » soit surtout - dans votre commentaire, en tout cas - de vouloir absolument parler à la place des gens. En réponse à : L’Etat d’Israël dans l’Union européenne ? En Israël, être ou ne pas être juif Par Piotr Smolar. Impossible de rester de glace en s’imaginant un premier voyage en Israël.