Décryptage de l'actualité au Moyen-Orient, Plus de 2700 articles publiés depuis juin 2010, Accueil / A la suite de la signature des accords d’Oslo I à Washington le 13 septembre 1993 entre Yasser Arafat et Itzhak Rabin, un processus connu sous le nom de ‘’processus d’Oslo’’ se met en place, afin de parvenir à l’autonomie des Palestiniens en Cisjordanie et à Gaza et de fixer le déroulement des négociations finales. Le Conseil National palestinien, réuni à Gaza en avril 1996, abroge les articles de la charte palestinienne mentionnant la destruction d’Israël. 19/07/2010 • 4 min, Bien que la Communauté européenne, devenue Union européenne en 1993, reste un ensemble relativement désuni et disparate sur le plan international, elle s’est intéressée très tôt au problème israélo-palestinien. Avec ces retraits, la Cisjordanie est morcelée en zones de plusieurs types : Depuis le début de l'année 1997, le Protocole d'Hébron divise la ville de Hébron en deux zones : H1, sous contrôle palestinien recouvre l'essentiel de la ville, et H2 représente la bordure orientale de la cité (où vivent environ 30 000 Palestiniens) qui comprend une communauté de 600 à 800 colons israéliens près du centre-ville. En (...), Dans le contexte de la fin de la guerre froide et à la suite de la guerre du Golfe de 1991, marquée par la victoire de la coalition, la diplomatie américaine décide de travailler à la question palestinienne et au processus de paix. A la suite de cette reprise, les attentats se poursuivent, faisant des victimes parmi les civils et les militaires israéliens, mais Rabin décide néanmoins de continuer à négocier. B Oslo II: la forme géopolitique de la déclaration de principes (cf carte) L'Accord Intérimaire sur la Cisjordanie et Gaza - dit Accord de Taba ou Accord Oslo II - est conclu à Taba le 26 septembre 1996 et signé à Washington le 28. La colonisation israélienne grandit, Jérusalem-Est reste sous contrôle israélien et Hébron est divisée en deux suite à l’accord du 17 janvier 1997. Les accords d’Oslo II: Mots-clés : # Palestine # Israël # Autorité _ palestinienne # Accords _ de _ paix: Sources : Jan de Jong pour la Maison de l’Orient, Jérusalem. Le Likoud est, par principe, opposé aux Accords d'Oslo. Toute leur politique doit alors être repensée. 3. Share. dans Analyses historiques, Les accords d'Oslo sont le résultat d'un ensemble de discussions menées en secret, en parallèle de celles publiques consécutives à la conférence de Madrid de 1991, entre des négociateurs israéliens et palestiniens à Oslo en Norvège, pour poser les premiers jalons d'une résolution du conflit israélo-palestinien. Sur le plan politique, le Conseil palestinien est élu le 20 janvier 1996, et Yasser Arafat est élu président de l’Autorité palestinienne. Plusieurs accords supplémentaires ont été conclus après Oslo II, mais les négociations n'ont pas abouti à un accord de paix définitif. Ce Conseil disposera des pouvoirs législatifs et exécutifs. Sur le plan économique, les relations entre Israël et les Palestiniens qui ont fait l’objet d’un accord signé le 29 février 1994 à Paris sont reprises. Elles reprendront en 1999, à la suite de l’élection d’Ehoud Barak. La dernière modification de cette page a été faite le 16 mars 2021 à 21:51. L'accord précise d'abord les compétences et les modalités d’élections d'un Conseil législatif palestinien, dont les quatre-vingts membres sont effectivement élus en janvier 1996, tout comme le président de l'Autorité palestinienne, Yasser Arafat, qui renforce ainsi sa légitimité. 11/05/2021 • 6 min. Des accords d’Oslo au régime d’Oslo, aux Marches du Retour en Palestine ( 2ème partie) Par Walid Atallah. Les accords d’Oslo, qu’Israël et la Palestine ont signés en 1993, étaient censés mettre fin à la lutte qui les opposait depuis des décennies. 28 septembre : signature à Washington de l’accord intérimaire entre Israël et l’ OLP, dit « Oslo II ». Les Accords d'Oslo, parfois nommés Accord de Jéricho-Gaza, sont signés à Washington en présence de Yitzhak Rabin, premier ministre d'Israël, de Yasser Arafat, président de l'Organisation de libération de la Palestine, et de Bill Clinton, président des États-Unis, en vue de … Elle a publié en 2006 "La France et les rivalités occidentales au Levant, Syrie Liban, 1918-1939" et en 2009 "La France dans les jeux d’influences en Syrie et au Liban, 1940-1946" aux éditions L’Harmattan. Sur le plan territorial, les villes de la zone A sont évacuées par l’armée israélienne fin 1995 et passent sous le contrôle de l’Autorité palestinienne, à l’exception d’Hébron, qui doit être évacuée par Israël à la suite des élections palestiniennes. Analyses historiques, Par Anne-Lucie Chaigne-Oudin Annexe Il : Protocole relatif au retrait des forces israéliennes de la bande de Gaza et de la région de Jéricho. 1°ACCORD ISRAELO PALESTINIEN « Accords d’Oslo » UNE CAPITULATION SANS CONDITION La poignée de main entre Arafat et Rabin nous a été présentée comme un moment historique d’une importance capitale, comme un acte de courage des … Comme il est rappelé dans l’article 1 – premier paragraphe 1, c’est Israël qui transfère certains pouvoirs : « 1. Processus de paix • 07/05/2021 • 5 min, « Israël n’enregistre aucun mort du COVID-19 pour la première fois en 10 mois » , « Israël serait sur le point d’atteindre l’immunité collective » , « (...) W. Atallah est membre de l’association des Palestiniens en France Al Jalyia. La zone C reste sous le contrôle d’Israël. L’accord "Oslo II", signé en 1995, entérine la répartition en trois zones des territoires de la Cisjordanie : les zones A, B et C. Il était conçu au départ pour une période de transition de cinq ans, au terme desquels devait exister un État palestinien souverain. / Y collaborent des experts du Moyen-Orient, selon la ligne éditoriale du site : analyser les événements du Moyen-Orient en les replaçant dans leur contexte historique. Shopping. Ils avaient eu beaucoup de mal à faire voter, en septembre 1995, par la Knesset les accords d'Oslo II qui portaient sur l'autonomie des grandes villes palestiniennes. 20 Sur la pression d’Israël, les accords d’Oslo avaient, en effet, prévu la création d’un « Conseil de l’autonomie » dont le rôle aurait dû se limiter à une simple gestion administrative des Territoires autonomes, mais les élus issus, le 20 janvier 1996, des premières élections libres de la vie politique palestinienne ne l’ont pas entendu ainsi. Up Next. dans Analyses historiques, Accords d'Oslo, 1993. Politique, Société • 13 SEPTEMBRE 1993 : LES ACCORDS D’OSLO 13 septembre 1993: poignée de mains entre le Palestinien Yasser Arafat et l’Israélien Yitzhak Rabin. https://info.arte.tv/fr/les-accords-doslo-bases-et-developpements La question de l’eau n’est en revanche pas réglée. Les négociations sur le statut final sont bloquées en revanche à la suite de l’élection de Benyamin Netanyahou le 29 mai 1996. La zone A est donc sous le contrôle exclusif de l’Autorité palestinienne, la zone B sous le contrôle mixte et la zone C sous contrôle exclusif d’Israël. La Communauté européenne a rapidement établi d’étroites relations avec le nouvel État israélien, (...) Accords d’Oslo I. Sur le plan territorial, la Cisjordanie est divisée en trois zones.La zone A est composée des villes de Jénine, Naplouse, Tulkarem, Kalkiya, Ramallah et Bethléem ainsi que de la ville de Jéricho, déjà autonome depuis mai 1994. Les Accords d’Oslo sont le résultat de plusieurs discussions, certaines privées et d’autres publiques, entre des négociateurs israéliens et palestiniens à Oslo en Norvège dans le but de mettre fin au conflit israélo-palestinien. A la suite d’Oslo II, le Premier ministre israélien Itzhak Rabin est assassiné le 4 novembre 1995 par un Israélien qui lui reproche d’abandonner les terres du peuple juif. dans Analyses historiques, Dans cette zone, l’Autorité palestinienne exerce ses compétences, y compris celles de la police. Repères historiques Sous la présidence de George Bush (1989-1993), les relations avec (...) dans Analyses de l’actualité, 22/04/2011 • 4 min, Dans le contexte de la fin de la guerre froide et à la suite de la guerre du Golfe de 1991, marquée par la victoire de la coalition, la diplomatie américaine décide de travailler à la question palestinienne et au processus de paix. Histoire, Diplomatie • Le Processus/Accords d’Oslo était au centre des préoccupations du Bureau du Procureur (OTP ou "Office of the Prosecutor") de la CPI dans sa demande de décision sur la compétence territoriale de la Cour en Palestine (ci-après dénommée "demande OTP"). Par Anne-Lucie Chaigne-Oudin Publié le 09/03/2010 • modifié le 23/01/2018 • Durée de lecture : 2 minutes Itshak Rabin, Bill Clinton et … L'Accord d'Oslo II est appelé un accord intérimaire parce qu'il était censé être la base des négociations ultérieures et les préliminaires d'un éventuel accord de paix global. A la suite d’Oslo I, dans un climat de tensions (attentats du Hamas en octobre 1994 ; autorisation donnée par le gouvernement israélien aux colonies de s’étendre, provoquant de nouveaux affrontements), les négociations, tant officielles qu’officieuses, reprennent en janvier 1995. L'Accord intérimaire sur la Cisjordanie et la bande de Gaza (également connu sous le nom d'Accord intérimaire israélo-palestinien, Accord de Taba ou parfois Oslo II) a été signé entre Yitzhak Rabin, Premier ministre d'Israël, et Yasser Arafat, président de l'OLP. L'option Gaza-Jéricho est la première phase de l'autonomie palestinienne. Elle est également l’auteur de nombreux articles d’histoire et d’actualité, publiés sur le Site. 2. Mais le 4 novembre, Yitzhak Rabin est … Puis, le 28 septembre 1995, par l’accord intérimaire sur la Cisjordanie et la bande de Gaza ou « accord de Taba » (Oslo II), qui implique un découpage négocié des territoires palestiniens en trois zones où les contrôles israélien et palestinien s’appliquent de façon différente. Processus de paix, Diplomatie • L’Autorité palestinienne contrôle ainsi plusieurs enclaves palestiniennes sur un territoire qui n’est pas continu. Qu'est-ce que les Accords d’Oslo ? L’OLP doit s’engager à abroger dans sa charte les articles évoquant la destruction d’Israël : « L’OLP s’engage à ce que, dans les deux mois suivant l’entrée en fonction du Conseil, le Conseil National palestinien se réunisse et approuve formellement les changements nécessaires relatifs à la Charte Palestinienne » (clause 9 de l’article XXXI). https://www.lesclesdumoyenorient.com/Oslo-II-ou-accords-de-Taba.html par Nicolas Klingelschmitt, Par ailleurs, la dynamique amorcée avec le transfert de la bande de Gaza et de Jéricho est complétée d’un retrait militaire israélien des villes et villages palestiniens ainsi que des terres domaniales rattachées. Copy link. Un accord sur Hébron est toutefois conclu le 15 janvier 1997. Un accord sera conclu sur les modalités et conditions précises des élections, conformément au protocole joint en tant qu'annexe 1, avec pour objectif la tenue des élections au plus tard neuf mois après l'entrée en vigueur de la présente Déclaration de principes. Forces militaires / coopération régionale, http://www.monde-diplomatique.fr/cahier/proche-orient/oslo2-fr, Avec les attentats du 11 septembre 2001, qui ont fait environ 3 000 victimes sur son sol, les Etats-Unis se considèrent en guerre contre le terrorisme et posent le problème de la sécurité de leur territoire face à la menace des islamistes radicaux. The Oslo Accords are a pair of agreements between the Government of Israel and the Palestine Liberation Organization (PLO): the Oslo I Accord, signed in Washington, D.C., in 1993; and the Oslo II Accord, signed in Taba, Egypt, in 1995. Il existe désormais une unanimité parmi les Palestiniens pour estimer que les accords d’Oslo de septembre 1993 ont échoué. Apparition(s) : Inédit: Auteur : Philippe Rekacewicz: Date de création : 1996 Toute leur politique doit alors être repensée. Accords d’Oslo. Younouss Mohamed, En Israël, la menée des négociations rencontre des oppositions, notamment de la part de la droite religieuse, qui refuse le partage de la terre d’Israël. par Lisa Romeo, Les caméras du monde entier sont là et la photo fait le tour du monde. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. ARTICLE I- Redeployment of Israeli Military Forces and Transfer of Responsibility Publié le 05/10/2010 • modifié le 02/03/2018 • Durée de lecture : 3 minutes. Mais son assassinat ne remet pas en cause l’application des accords d’Oslo II. Le redéploiement de l'armée israélienne précède la mise en place d'une autorité (l’Autorité Nationale Palestinienne) investie de pouvoirs civils et Sous la présidence de George Bush (1989-1993), les relations avec (...), Dès 1949, l’Arabie saoudite s’implique dans la question du conflit israélo-arabe, en acceptant les accords d’armistice de Rhodes, puis en 1956 en se rangeant du côté de l’Egypte lors de la crise de Suez, en 1967 en finançant la reconstruction des forces arabes, en 1973 par son rôle dans l’embargo (...), La place de l’Union européenne dans le conflit israélo-palestinien, Bien que la Communauté européenne, devenue Union européenne en 1993, reste un ensemble relativement désuni et disparate sur le plan international, elle s’est intéressée très tôt au problème israélo-palestinien. L’Égypte du président Anouar (...) If playback doesn't begin shortly, try restarting your device. Les accords d’Oslo de l’espoir à l’échec. Déclaration de principes sur des Arrangements intérimaires d'autonomie. Annexe I: Protocole relatif aux modalités et conditions des élections. Plusieurs points sont étudiés : les questions territoriales, les élections palestiniennes et les questions économiques. Tap to unmute. Les Accords d'Oslo 2 Les accords d'Oslo 2, beaucoup plus étendus, sont donc théoriquement à lire selon ce principe fondamental, ce qui nous autorise à considérer que toute formulation ambigüe contradictoire avec ce principe fondamental n'est pas à entendre dans … En (...) Le 28 septembre 1995, les accords négociés à Taba en Egypte sont signés à Washington. La Communauté européenne a rapidement établi d’étroites relations avec le nouvel État israélien, (...), La politique étrangère cairote sous Sadate (3/3) : des conséquences de la guerre du Kippour (1973) au sein de l’OUA aux accords de Camp David (1979), un isolement progressif de l’Égypte fatal à Sadate, Dans cette troisième partie, nous revenons sur les conséquences de l’échec de la guerre éclair du Kippour opposant une importante coalition d’États arabes, soutenus par l’URSS, à l’État d’Israël, recevant un soutien des États-Unis dans un contexte global de guerre froide. Watch later. Anne-Lucie Chaigne-Oudin est la fondatrice et la directrice de la revue en ligne Les clés du Moyen-Orient, mise en ligne en juin 2010. Ce processus dont on avait espéré qu’il aboutirait à la création d’un État palestinien indépendant après cinq ans d’autonomie limitée aura en réalité engendré de nouveaux mécanismes de domination à l’intérieur des territoires palestiniens occupés. accords d' oslo (1993 et 1995) - 2 articles : proche et moyen-orient contemporain • proche et moyen-orient contemporain Oslo n’est donc pas un accord de paix, mais un accord intérimaire dans le but de parvenir, par étapes, à un processus de conciliation entre Israéliens et Palestiniens. Avec les attentats du 11 septembre 2001, qui ont fait environ 3 000 victimes sur son sol, les Etats-Unis se considèrent en guerre contre le terrorisme et posent le problème de la sécurité de leur territoire face à la menace des islamistes radicaux. par Emile Bouvier, 21/07/2010 • 4 min, Dès 1949, l’Arabie saoudite s’implique dans la question du conflit israélo-arabe, en acceptant les accords d’armistice de Rhodes, puis en 1956 en se rangeant du côté de l’Egypte lors de la crise de Suez, en 1967 en finançant la reconstruction des forces arabes, en 1973 par son rôle dans l’embargo (...) Bibliographie :Texte de l’accord intérimaire israélo-palestinien sur la Cisjordanie et la Bande de Gaza, Washington, le 28 septembre 1995 : http://www.monde-diplomatique.fr/cahier/proche-orient/oslo2-frGeorge Corm, Le Proche-Orient éclaté 1956-2007, Paris, Gallimard, 2007, 1128 pages.Alain Gresh et Dominique Vidal, Les 100 clés du Proche-Orient, Paris, Hachette Littératures, 2003, 607 pages.Bichara Khader, l’Europe et la Palestine : des croisades à nos jours, Paris, L’Harmattan, 1999.Henry Laurens, L’Orient arabe à l’heure américaine, de la guerre du Golfe à la guerre en Irak, Paris, Hachette Littérature, 2008, 449 pages.Frédéric Encel et François Thual, Géopolitique d’Israël, Paris, Seuil, 2006, 486 pages. Publié le 17 avril 2014 par mcdonaghsilvia. La création d’un gouvernement palestinien intérimaire, l’Autorité nationale palestinienne, pour administrer les zones sous son contrôle Ces villes représentent 3% de la Cisjordanie et 20% de la population.La zone B est composée de la quasi totalité des villages palestiniens de Cisjordanie (environ 450), ce qui représente 27% de la Cisjordanie et 70% de la population.La zone A et la zone B représentent 90% de la population de Cisjordanie.La zone C est composée du reste de la Cisjordanie, ce qui représente 70% du territoire, et comprend surtout des colonies juives et peu de population palestinienne. Plusieurs décisions sont prises : sur le plan territorial, sur le retrait des troupes israéliennes de Cisjordanie, sur le plan politique palestinien et sur le plan économique. Processus de paix • Les négociations sur le statut final sont fixées au 5 mai 1996, au plus tard. Anne-Lucie Chaigne-Oudin, Docteur en histoire de l’université Paris-IV Sorbonne, a soutenu sa thèse sous la direction du professeur Dominique Chevallier. Accord intérimaire sur la Cisjordanie et la Bande de Gaza, « West Bank: Area C - OCHA map (22 February 2011) », La répartition en trois zones de la Cisjordanie, Intervention militaire israélienne au Liban, Accord intérimaire sur la Cisjordanie et la bande de Gaza, Confrontation israélo-palestinienne de 2011, Confrontation entre Israël et la bande de Gaza, Plan de désengagement des territoires occupés, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Accord_intérimaire_sur_la_Cisjordanie_et_la_bande_de_Gaza&oldid=180941482, Portail:Conflit israélo-arabe/Articles liés, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, Portail:Relations internationales/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, les zones A (environ 18 % de la superficie), sous contrôle civil et sécuritaire, les zones B (environ 21-22 % de la superficie, les zones C (environ 60-61 % de la superficie). La signature a eu lieu une première fois à Taba le 24 septembre 1995, puis de nouveau à Washington le 28 septembre 1995, en présence des représentants russes, américains, européens, égyptiens, jordaniens et norvégiens. par Amicie Duplaquet, Ces accords d’Oslo II ou de Taba ne suscitent pas le même enthousiasme que les accords d’Oslo I. Ils prévoient la mise en application de la déclaration de principe d’Oslo I, définissant les échéances et les conditions de l’autonomie des Palestiniens. L’Égypte du président Anouar (...), Géopolitique du vaccin au Moyen-Orient : point de (...), « Israël n’enregistre aucun mort du COVID-19 pour la première fois en 10 mois » , « Israël serait sur le point d’atteindre l’immunité collective » , « (...), Entretien avec Alain Dieckhoff : « l’échec de la (...), Entretien avec Denis Charbit sur le rapport à l’annexion (...), Entretien avec Jean-Paul Chagnollaud - Les enjeux (...), La Cour pénale internationale ouvre la voie à une enquête (...). 31/12/2015 • 9 min, Dans cette troisième partie, nous revenons sur les conséquences de l’échec de la guerre éclair du Kippour opposant une importante coalition d’États arabes, soutenus par l’URSS, à l’État d’Israël, recevant un soutien des États-Unis dans un contexte global de guerre froide. En septembre 1995, un nouvel accord intérimaire (Oslo II) est signé à Washington sur l'extension de l'autonomie en Cisjordanie. Sources : Archives municipales de Jérusalem, département des plans urbains ; par Anne-Lucie Chaigne-Oudin, Info. Les accords d’Oslo II (28 septembre 1995) Les territoires palestiniens sont morcelés et divisés en trois zones.